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Auteur Fil de discussion: Santé et éducation des bébés, enfants et ados  (Lu 79 fois)

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Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« le: 30 mars 2009 à 12:43:38 »
  •  
Les bienfaits de l'allaitement
Le lait maternel possède certains bienfaits nutritionnels indéniables. Il n’existe pas meilleure nourriture pour les nouveau-nés que le lait maternel. Les bébés allaités vont moins souvent à l’hôpital et ont moins d’otites, de diarrhées, d’éruptions cutanées, d’allergies, etc., que les bébés nourris au biberon.
1. Le système immunitaire renforcé
Les enfants nourris au sein sont plus résistants aux infections (otites, gastro-entérites… etc.), le lait maternel possède des anticorps qui les protègent contre ces infections.
Outre ces substances protectrices, le lait maternel contient des anticorps contre tous les germes intestinaux responsables de diarrhées. Ils aident le système digestif du bébé à empêcher l'adhésion des bactéries sur les muqueuses intestinales. En effet, l'effet anti-infectieux du lait maternel tient à la présence de cellules qui préviennent la fixation sur la paroi intestinale des microbes et des virus, lesquels sont responsables d'infecter le nourrisson.
2. Une protection contre les allergies : Une étude récente a démontré que les bébés nourris au sein durant les 4 premiers mois de leur vie sont moins victimes de crise d'asthme que ceux nourris au biberon. Cette étude montre également que l'introduction de lait artificiel avant l’âge de 4 mois constitue un facteur de risque d'asthme et d’allergies diverses.
3. le transit intestinal amélioré : Le lait maternel a un effet connu sur le transit intestinal, il contribue largement à diminuer les diarrhées et les constipations chez le bébé grâce aux bifidus.
4. Une adaptation aux besoins de l'enfant : La composition du lait humain change pendant la période de lactation pour s'adapter aux différents besoins du nouveau-né. On distingue le colostrum (1er au 6ème jour), le lait de transition (6ème au 14ème jour) et le lait mature (après le 14ème jour). La concentration des anticorps varie au cours de la lactation. Elle est maximale dans le colostrum présent les cinq premiers jours.
5. le lait maternel lutte contre l’obésité chez l’enfant
Il est statistiquement constaté que les enfants nourris au lait maternel sont moins confrontés aux risques d'obésité que ceux nourris aux laits pour nourrissons. Une étude tend à montrer que cela serait dû à la présence d'une protéine, l'adiponectine, dans le lait humain.
6. L'acuité visuelle
Le lait maternel a aussi un effet bénéfique sur l'acuité visuelle des bébés prématurés.
7. Autres
De nombreux bienfaits sont attribués au lait maternel sans être prouvés scientifiquement : la protection contre le diabète, les caries ou la sclérose en plaques.





« Dernière modification: 08 avril 2009 à 09:03:56 par farah »
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Re : Santé des enfants
« #1 le: 31 mars 2009 à 16:15:43 »
  •  
Les remèdes de grands-mères ont depuis longtemps fait leur preuve sur plusieurs générations d'enfants. En voici quelques-uns à appliquer au quotidien.
 
Légers troubles du sommeil
Il a du mal à s'endormir ? Mettez un peu d'eau de fleurs d'oranger dans un biberon de lait chaud. Cela apaisera bébé qui passera ainsi une bonne nuit. Plus grand, donnez-lui une tasse de lait chaud avec du miel. Sinon, une infusion de verveine additionnée de miel, comme pour les adultes, agira tout aussi bien. Vous avez déjà tout essayé ? Optez pour l'eau florale de camomille. Une cuillère dans du lait et le tour est joué.

Bébé fait ses dents
Votre petit pleure, se frotte les dents avec son poing. Pour l'aider à faire ses dents, donnez-lui à mâchouiller un bâton de racine séchée de guimauve. On la trouve en herboristerie. Cela vous effraie un peu ? Direction le boulanger pour acheter un bâton de réglisse.
 
Un rhume, une solution
L'hiver est la période des rhumes et autres nez qui coulent. Pour enrayer au plus tôt un rhume qui commence, placez un diffuseur d'huiles essentielles dans la chambre de votre petit avec un peu d'eucalyptus. Et en guise de prévention, rien de tel que l'alimentation. Favorisez les produits riches en vitamines C. Achetez des agrumes mais également des légumes comme la mâche, les carottes, le brocoli.
 
Bébé a les fesses rouges
C'est un mal bien connu des mamans. Pour remédier aux fesses rouges, le mieux... est de ne rien faire ! Laissez autant que possible votre petit gambader dans la maison les fesses à l'air. Celles-ci ne macérant pas dans l'humidité de la couche, sèchent et cicatrisent plus rapidement. Sinon, remplacez le lait de toilette par de l'eau et un savon sans savon, séchez, et appliquez un peu de pulpe fraîche de feuille d'aloès ou d'huile de millepertuis.
 
Il a une diarrhée
En cas de diarhhée, faites boire de l'eau salée à votre petit. S'il est déjà grand, donnez-lui un verre de Coca-Cola tiède et débullé. La célèbre boisson réhydratera votre enfant et lui apportera la quantité de sel nécessaire. Côté alimentation, faites cuire le riz en gardant l'eau de cuisson, c'est-à-dire pilaf. La céréale gardera ainsi toutes ses propriétés. Sinon, compote de pommes, carottes cuites et bananes complèteront le régime alimentaire à respecter pendant 3 jours.





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Re : Santé des enfants
« #2 le: 08 avril 2009 à 09:03:24 »
  •  

10 conseils pour que votre ado vous écoute

Votre adolescent souffle comme un phoque et lève les yeux au ciel dès que vous lui interdisez quelque chose. Rappelez-lui aussitôt votre place de parents et votre responsabilité, qui est de mettre des limites. Ne vous sentez pas coupables du ton sec qu'il vous pousse parfois à utiliser. Parlez de manière naturelle, avec vos mots. Plus c'est authentique, plus c'est vous, mieux ça passera. à l'inverse de ce qu'il pense, le pire serait inconsistance ou indifférence. Les jeunes ont besoin de s'appuyer sur ce que leurs parents autorisent et sur les limites qu'ils leur posent. Il est nécessaire d'interdire certains comportements et de s'y tenir malgré les coups de boutoir et l'aigreur, de défendre une position de façon ferme et cohérente, quitte à passer pour un dinosaure.

Les solutions, on les trouve ensemble
Dites-lui ce qui vous pose problème : il ne range jamais sa chambre, laisse traîner ses rollers dans l’entrée… Proposez-lui de chercher une solution qui convienne à tous les deux. Cette technique du "gagnant-gagnant" repose sur le principe que personne n’est inférieur ou supérieur : chacun fait un pas vers l’autre, après discussion. Ecouté et respecté dans ses demandes, l’enfant se sent prêt à faire des concessions.
Le danger : tout faire à sa place
Laissez-le expérimenter les conséquences de ses actes. Ses affaires sales traînent… A court de tee-shirts propres, il trouvera vite le chemin du panier à linge !
Des mots doux… partout
Laissez traîner des indices pour l’aider à mémoriser certaines choses à effectuer et respecter. Un post-it sur le miroir de la salle de bains pour rappeler qu’il faut rincer la baignoire après sa toilette, un autre en évidence sur la porte de sa chambre pour se souvenir d’aérer le matin… Très efficace aussi, l’aspirateur directement placé devant la porte !
Ferme dans un gant de velours
Mettez-vous d’accord sur les règles avec le père de votre enfant afin d’éviter le piège du "diviser pour mieux régner". Et soyez sûre de vous. S’il sent la faille, il s’y engouffrera. Prenez une voix calme et un ton qui ne doute pas qu’on va lui obéir ! Formulez votre demande par "quand tu auras fait ceci, tu pourras faire cela…", plus efficace qu’un "je te demande de faire ceci…". Le but étant de faire glisser le moins plaisant dans la perspective du plus agréable.

Un petit compliment, c’est encourageant
À cet âge, l’ado a encore envie de faire plaisir et veut que vous soyez content de lui. Les compliments le motivent à bien se comporter : il sait que vous comptez sur lui et ne veut pas vous décevoir. Le but est qu’il soit fier, que vos relations s’améliorent, et que ce résultat soit le fruit de sa décision. Cette sensation le rend autonome. Il réalise qu’il a une influence sur lui-même.
Pour entendre, il faut être écouté
Le mieux : poser des règles claires. Demandez-lui de vous regarder quand vous lui parlez, et faites bref, en employant des mots simples. La directive principale doit être contenue dans la première phrase : "Même si tu sors plus tôt de cours, tu rentres tout de suite à la maison." Les formulations doivent être précises, et ne les changez pas du jour au lendemain !
Rappelez-vous… le modèle, c’est vous !
Comment reprocher à votre ado de ne pas mettre ses baskets dans le placard si vous laissez traîner vos propres chaussures ? Comment lui demander d’arriver à l’heure à l’école, si vous-mêmes êtes toujours en retard. On ne vous demande pas d’être des parents exemplaires. Vous avez droit à l’erreur mais rappelez-vous que votre pré-ado, sans en avoir l’air, s’inspire malgré tout de vos faits et gestes.

La punition, mais sans humiliation
Pour montrer que certains comportements ne sont pas acceptables, il faut sanctionner. La punition doit être juste, proportionnée à ce qui a été fait et effective. On ne revient pas dessus. Pas question d’humiliation, c’est à celui ou celle qui a désobéi de trouver comment réparer, comment faire quelque chose de bien qui vous fera plaisir. Ce peut être de participer à une tâche familiale : vider le sèche-linge ou faire les courses. Quoiqu’il/elle ait fait, évitez les peines à perpétuité ou les menaces que vous ne pourrez pas tenir.






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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #3 le: 09 avril 2009 à 14:03:09 »
  •  
L’alimentation des enfants entre 18 et 36 mois

Passé 18 mois, un enfant enrichit encore son répertoire alimentaire et mange à peu près comme toute la famille. Tout seul et avec une cuillère ! Il commence même à manier la fourchette. Mais il a encore besoin d’une alimentation adaptée, en quantité et en qualité. Il expérimente et teste vos limites, ce sont les premiers vrais dérapages.

A cet âge, l’enfantl grandit en moyenne de 20%, grossit de 40% et son cerveau prend 2 grammes par jour ! En conséquence, il a besoin d’une répartition adaptée des trois familles d’aliments : 30 à 35 g par jour de protéines (viande, poisson, œuf, surtout), 30 à 40 g de lipides ou graisses, 130 à 165 g de glucides (sucres, féculents, fibres). Et toujours, le plein de vitamines et minéraux.
Désormais, tous les légumes sont permis, même ceux qui ont tendance à fermenter (de la famille des choux et artichauts et salsifis, notamment). Au niveau des portions à lui donner, comptez : 5-6 cuil. à soupe à 2 ans, 8-9 à 3 ans. Les crudités, moins digestes que les légumes cuits, font partie systématiquement de l’un de ses repas, en plus grosses quantités qu’auparavant (2 cuil. à soupe). Mêmes celles de chou, céléri (sauf allergie), champignons et salades vertes tendres (feuilles de chêne, laitue, mâche), encore coupées en lanières. Et s’il l’apprécie, pour les assaisonner, un peu de vinaigrette classique au vinaigre. Du côté des fruits, groseilles, cassis, myrtilles, mûres sont les nouveaux venus (portion : 2 à 3 cuil. à soupe ou un demi-fruit frais, deux ou trois fois par jour.) N’hésitez pas aussi à lui proposer à grignoter, de temps en temps, des fruits secs (dates, figues, pruneaux) et oléagineux, broyés puis écrasés (noix, noisettes, amandes), à condition qu’il ne soit pas allergique.


Les féculents : sous toutes les formes
Confirmée : la tartine. Mais, passé 2 ans, il peut apprécier des pains différents s’il les digère bien (complet ou aux graines mais pas au son). Il mange encore des céréales infantiles (en “farines” mais aussi en pétales et flocons). Quant aux portions, donnez-lui un 1/8e de baguette ou 1 tranche de pain ; 4 à 5 cuil. à soupe de céréales infantiles.
Les « must » : pâtes, riz et pommes de terre mais aussi blé (boulgour), maïs, quinoa et autres céréales en « garniture » une ou deux fois par jour, souvent en association avec des légumes. Dès qu’il mange de vrais petits morceaux, le riz n’a plus besoin d’être aussi cuit qu’auparavant, ni les pâtes aussi fines. Les coquillettes sont les bienvenues. Les légumes secs, encore en purée c’est préférable.

Du côté des laitages :
Vous devez lui donner 500 ml minimum de lait de croissance quotidiens, adaptés à ses besoins (en calcium, fer, acides gras essentiels). Même si, passé 2 ans, il goûte aux desserts lactés « maison » ou « classiques ». En plus, vous pouvez lui proposer 1 ou 2 laitages (fromage blanc, yaourt, petit-suisse…) ou fromage (tous mais à pâte dure, plus riches en calcium).

Viande, poisson, œufs, palette élargie
Toujours une seule fois par jour à raison de 25/30 g, environ vers 18-24 mois, et 30/35 g vers 24-36 mois. Sont aussi permis les poissons et viandes plus « goûteux » et gras (canard, agneau, mouton ; thon, maquereau, saumon), mais cuits de préférence sans graisses (en papillote ou pochés). Et servit en petits morceaux. Limitez cependant la consommation de viandes et poissons panés et frits. L’œuf, deux fois par semaine, peut se décliner sous toutes ses recettes : au plat, brouillé, en omelette, poché…



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Allergie aux protéines de lait de vach
« #4 le: 18 avril 2009 à 16:09:44 »
  •  

L’allergie au lait de vache touche 10 % des enfants de moins de 2 ans. Une fois le diagnostic confirmé, l’éviction du lait doit être totale. Que donner à son enfant en remplacement ?

Le seul traitement efficace est l’éviction totale du lait et de tous ses produits dérivés. Par conséquent, yaourt, petit-suisse, fromage blanc, fromage, beurre, crème fraîche, chantilly, crème glacée…. N’oubliez pas les produits industriels comme les purées, les sauces, les gratins, les potages… Il faut aussi se méfier des  produits céréaliers : poudres pour pudding, poudres pour mousses, poudres pour jelly. On retrouve aussi du lait dans  les matières grasses : la margarine, la minarine et autres matières grasses à tartiner, la graisse pour cuisson, la graisse comestible, les matières grasses composées. Dans les friandises aussi: le chocolat blanc, le chocolat fourré, les pralines et les bonbons de chocolat.
Il faut par conséquent bien lire les étiquettes :
Sachez qu’il y a du lait si l’un de ces termes est présent sur la liste des ingrédients : protéines de lait, lacto-protéine, caséine, protéines du lactosérum, caséinates, lactalbumine, lactose.
Méfiez-vous aussi des produits cosmétiques qui peuvent contenir du lait ou un dérivé, de même que 20 % des médicaments.
Attention aussi aux autres laits :qu’il soit de brebis, de chèvre… aucun lait ne convient à une personne souffrant d’allergie aux protéines du lait de vache. Les protéines sont trop proches et ils fournissent insuffisamment de vitamines et d'acides gras essentiels…  C’est la même chose pour les “jus” végétaux (soja, amande…). Les protéines du jus de soja déclenchent également des allergies chez certains enfants allergiques au lait de vache. De plus, ils contiennent des phytoestrogènes susceptibles de modifier le système endocrinien et l’immunité.
 Vous l’aurez compris, mieux vaut tout cuisiner soi-meêm pour éviter la présence du lait et de ses dérivés.
II. Les aliments à privilégier :
Etant donné que les produits laitiers sont des sources importantes de vitamine B2, consommez d’autres aliments riches en vitamine B2 : tels les algues, la levure alimentaire, les légumes à feuilles vertes (les feuilles de betteraves rouges, les épinards, le brocoli), l’avocat, les champignons, les céréales complètes, les fruits oléagineux, les graines, le foie…] ou voyez avec votre médecin l’utilité d’un complément. Le régime étant difficile à équilibrer, un conseil diététique est recommandé afin d’éviter toutes carences.

Idées de goûter :
Un fruit de saison ou une portion de fruits de saison;
• Un berlingot de jus de fruits sans sucre ajouté : jus d’orange, jus
multifruits, jus de pomme (enrichi en vitamine C);
• Vous pouvez aussi exploiter les jus de légumes, en gourde, en canette ou en berlingot;
• Une portion d'un mélange de fruits tropicaux au sirop léger ou au jus de
fruits;
• Une portion de compote de fruits en ravier (ou en tube) de préférence
sans sucre ajouté ou peu sucré;
• Vous pouvez lui suggérer de grignoter des carottes, des radis, des
tomates cerises ou un morceau de concombre.
Préparer des salades de fruits de saison avec un filet de jus de citron pour la conservation à mettre dans un tupperware.
La pain reste une bonne alternative comme goûter : Une tartine de pain blanc, gris ou complet avec du beurre de cacahouète, de la confiture, sirop de Liège. En version salée : tartines avec du thon mayonnaise, crabe mayonnaise, thon piquant, poulet andalouse (avec du ketchup), poulet curry.
N’oubliez pas la petite bouteille d’eau

Recettes :
Cake au citron vert
11/2 verre de farine
1/2 verre de sucre blond de canne
1 c.c de bicarbonate de soude
Zeste et jus d'un citron vert
Eau
6 c.s d'huile
1 c.c d'extrait naturel de vanille
1 c.s de vinaigre
Préparation:
Mélanger les ingrédients secs. Remplir le verre du jus de citron et ajouter de l'eau pour remplir le verre. Ajouter le 1er mélange. l'huile, la vanille et le vinaigre.Bien mélanger et cuire dans le four préchauffer th.6/7 pendant 25 min.
Crêpes :
Ingrédients :
En prenant un verre comme verre-mesure :
2 verres de farine de maïs (en magasin biologique)
1 verre de fécule de pommes de terre
1 verre de sucre
4 cs d'huile de maïs
1/2 l de boisson végétale de riz
1 à 2 cs d'eau de fleur d'oranger

Préparation :
Dans un saladier, mélanger la farine de maïs, fécule et sucre
Verser la boisson végétale de riz et 1 à 2 cs d'eau de fleur d'oranger
Mélanger avec le batteur électrique, ajouter l'huile
Faire chauffer la poêle et faire cuire à feu vif

Boules de cacahuètes à la marocaines
500g de beurre de cacahuètes
500g de farine
250g de sucre
Huile neutre pour ramasser la pâte
Préchauffer le four à 170/180°C.
Mélanger les 3 premiers ingrédients puis ajouter l'huile petit à petit, en filet, tout en mélangeant pour ramasser la pâte jusqu'à ce qu'elle ai une consistance sablonneuse afin que les petits gâteaux aient cette texture délicate.
Former des petites boules et les disposer au fur et à mesure sur une plaque de cuisson sulfurisée.
Enfourner jusqu'à ce qu'ils soient un peu blond rosés. Ne pas les surcuire, ils ne doivent pas durcir, ni colorer davantage.
Les laisser refroidir sur la plaque de cuisson ou au moins, tiédir avant de les poser sur une grille jusqu'à complet refroidissement car au sortir du four, les petites boules sont fragiles à manipuler.


Pour d'autres recettes, voici un site de recettes pour personnes allergiques
http://blog.marmiton.org/blog/see_247304_2/96-recettes-pour-petits-loups-allergiques-parce-que-nous-aussi-on-veut-en-manger



 
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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #5 le: 18 avril 2009 à 16:23:35 »
  •  
Pourquoi mon enfant se ronge-t-il les ongles ?

Les médecins lui donnent le nom savant d''onchophagie'. Comprenez ici : ' attitude compulsive consistant à se ronger les ongles '. 'Cette manie peut avoir, chez l'enfant, différentes origines. Elle peut-être mimétique : l'enfant voit un adulte référent ? père, mère, instituteur ? s'en prendre à ses mains et décide de recopier ce geste qui lui semble anodin.' Elle peut également traduire une anxiété face à une situation troublante liée à un événement qui est venu dérégler son quotidien : rentrée scolaire, divorce, naissance d'un frère, etc.
Quoi qu'il en soit, il est nécessaire de tenter de trouver ou de situer l'origine de cette manie.  Pour cela, ne le harcelez surtout pas en permanence et ne l'humiliez pas en public : il plongerait dans un mal-être qui renforcerait ses petites crises d'inquiétude. Ici, l'enfant a plutôt besoin de parents qui l'écoutent. Il est donc impératif d'essayer de savoir si quelqu'un ou quelque chose le tourmente.  Il est aussi possible d'appliquer sur ses ongles un pansement ou un vernis spécial, au goût amer, qui aura un effet dissuasif, sachant que ce type de manie disparaît généralement seule, avec le temps.

Reste malgré tout qu'il arrive parfois que les choses s'aggravent : ' l'enfant peut, quand son ressenti devient vraiment très fort, se ronger quotidiennement les ongles jusqu'au saignement et à l'infection cutanée. Dans ce cas précisément, il porte ses doigts à sa bouche en permanence, si bien que sa manie occupe tout son temps, l'empêchant parfois de se concentrer.
Aider son enfant à mettre en mots ce qui le malmène est donc une première étape vers la maîtrise de soi. L'enfant pourra ici se faire aider par un pédiatre. Il peut s'agir d'un souci à l'école comme de mauvaises notes, d'une perte de confiance momentanée, d'une complication relationnelle avec des camarades. Il est en tout cas important que l'enfant soit rassuré par ses parents. Plus que l'autorité, plus que l'humour, c'est l'écoute qui sera réparatrice.

En résumé, que faire ?

- L'aider à exprimer sa nervosité d'une autre manière, à travers le sport ou le jeu.
- Éviter les reproches qui risquent d'entamer sa confiance en lui, d'augmenter son stress et donc de renforcer sa manie.
- Dédramatiser son geste en le rassurant.
- Occuper ses mains par la pratique des travaux manuels (découpage, dessins, peintures, etc.).

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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #6 le: 18 avril 2009 à 16:26:13 »
  •  
Les ados et le suicide : l’importance, c’est le dialogue

Un ado sur quatre a eu ou aura un projet de suicide. Depuis une quinzaine d'années, il y a plus de décès par suicide que par accident de la circulation. Pourtant, et contrairement aux idées reçues, la prévention du suicide passe en priorité par le dialogue. Oser en parler avec une personne au comportement suicidaire ne peut que lui apporter un soulagement et l'aider dans le bon sens.

Fini les préjugés qui tuent
La plupart des idées préconçues autour du suicide sont fausses et l'expérience le prouve rigoureusement.
Ne pas en parler de peur d'en donner l'idée : se confier apporte toujours un soulagement.
Minimiser la crise, faire semblant de ne pas la prendre au sérieux : cette attitude peut être interprétée comme de l'indifférence ou une approbation.
On ne peut rien faire : un candidat au suicide souhaite en réalité vivre et mourir à la fois.
Le suicide ne prévient pas : la majorité des suicidaires ont clairement révélé leur envie d'en finir dans la semaine précédant leur acte.
Comment deviner qu'un jeune est à risque de suicide ?
Ce n'est pas facile, mais repérer des changements de comportement peut donner un signal d'alarme : adoption de conduites à risques, humeur dépressive ou impulsive, circonstances pénibles (troubles familiaux, difficultés sociales, maladie, etc.), repli sur soi, absentéisme ou échecs scolaires, etc.
Comment l'aider ?
En engageant le dialogue !
Il s'agit souvent d'un signal de désespoir que l'on saisit au vol. Il faut toujours le prendre très au sérieux. Même sans être un professionnel, votre rôle peut être vital. Il vous suffit d'exprimer votre compréhension face à une souffrance qui se dévoile. Laissez parler, afin d'amener votre interlocuteur à exprimer son besoin important d'être écouté. Osez dialoguer et poser des questions très directes (Es-tu en danger ? Souffres-tu ? As-tu des idées noires ? Es-tu au point de penser à mourir ? As-tu déjà tenté de mettre fin à tes jours ? Y penses-tu maintenant ? etc.). Les personnes qui survivent au suicide affirment toutes que le fait d'en parler leur a fait du bien, notamment en leur apportant un soulagement ; les psychiatres le confirment.
L'idée n'est pas de lui dire que ce n'est rien, qu'avec le temps ça s'arrangera ou que c'est mal, car ces arguments aggravent le sentiment de culpabilité. Il faut l'encourager à dévoiler ce qu'il a sur le cœur, à dialoguer et à ne pas rester seul avec sa détresse pour une telle décision. Tentez de comprendre les problèmes qui motivent son envie de mourir. Et surtout, montrez-lui que vous tenez à lui et qu'il n'a pas besoin de menacer de se suicider pour s'assurer de votre compréhension.

Et enfin, ne restez pas seuls tous les deux. Allez chercher de l'aide auprès des professionnels, médecins, travailleurs sociaux, infirmières scolaires, enseignants, éducateurs, animateurs, associations d'aide et d'écoute, centres médico-psychologiques.
Centre de Prévention du Suicide, tél. 0800/32 123
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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #7 le: 18 avril 2009 à 16:36:02 »
  •  
Enfant et néophobie alimentaire
"J'aime pas ça". Si vous avez des enfants, c'est un refrain qui revient souvent au cours des repas ! Vous avez beau faire votre possible pour qu'ils mangent équilibré et savoureux, rien n'y fait, ils font la grimace… Pourquoi cette réaction alors qu'ils savent très bien que vous ne cherchez que leur bien-être ?

Qu'est-ce que la néophobie alimentaire ?
S'alimenter est un apprentissage. Au début de la vie, un tout petit bébé tète sa mère ou est nourri au biberon. Si le lait maternel change de goût en fonction de la nourriture de la mère, il n'en est pas de même pour le lait maternisé qui présente un goût constant. Cela n'habitue pas le bébé à explorer différentes saveurs. Il est donc brusquement confronté à des odeurs, des goûts très divers dès que l'on commence à le nourrir à la cuillère. Il pourra par la suite et pour quelques années, présenter une néophobie, c'est-à-dire un recul devant de nouveaux aliments qu'il n'a pas encore adoptés. Cette néophobie commence surtout aux environs de deux ans pour être à son summum entre 4 et 7 ans.
La néophobie peut avoir plusieurs causes :
- l'enfant a envie de s'affirmer. Comme il dépend complètement des adultes, refuser de la nourriture est un pouvoir qu'il apprécie ! Il montre qu'il peut dire non…et il ne se prive pas pour le faire d'autres manières aussi !
- Il recherche la sécurité et n'a pas envie de prendre un risque pour un aliment qui lui est étranger. Il a besoin de connaître ce qu'il introduit dans son corps, ce qui est pour lui rassurant.
- On le force à manger ce qui le rebute. Il peut alors se bloquer ! Il est attiré naturellement par les aliments sucrés car une sensation agréable en découle très vite. Il n'a pas été habitué à goûter d'autres saveurs moins agréables au premier abord : salé, amer, acide…
Comment l'aider à élargir ses goûts alimentaires ?
L'obliger à goûter une toute petite bouchée de ce qu'il ne veut pas manger, sans le forcer à continuer.
Lui expliquer qu'il existe des aliments que l'on n'apprécie pas la première fois mais que l'on finit par aimer en les goûtant régulièrement.
Lui donner des exemples : moi, j'avais horreur du roquefort , ça me dégoûtait et maintenant j'adore !
Lui interdire d'affirmer ' je n'aime pas… ' et de le répéter. En effet, on ne peut pas savoir si l'on aime ou non un aliment avant de l'avoir goûté au moins 12 fois ! Le lui expliquer. Il peut dire 'pour l'instant, je n'apprécie pas ça, je goûte simplement !'
Lui donner tout de même le droit d'avoir un ou deux dégoûts alimentaires et les respecter. Nous en avons presque tous !
Parler des bienfaits de la nourriture pour la santé. Manger n'est pas seulement un plaisir, c'est aussi une nécessité et un moyen de se faire du bien.
Varier l'alimentation.
Lui raconter d'où vient tel ou tel aliment pour l'y intéresser.
Ne jamais le forcer à finir son assiette s'il n'a plus faim.
Affiner son goût : 'regarde voici deux pommes, et bien, elles n'ont pas le même goût. Ce sont deux variétés différentes…
Et bien sûr, lui donner l'exemple ! En investissant un peu dans sa relation avec l'alimentation, vous l'aiderez beaucoup à mettre en place des structures solides pour l'avenir, pour qu'il devienne un adulte en bonne santé et conscient de l'importance d'une alimentation à la fois savoureuse et équilibrée.
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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #8 le: 20 avril 2009 à 13:26:24 »
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La garde alternée

Une semaine chez papa, une autre chez maman… Il ne vous le dit pas forcément, mais vous avez l’impression que votre enfant a du mal à gérer cette garde alternée. Comment l’aider à trouver ses marques ?
La garde alternée le perturbe : quels sont les signes ?
Votre enfant est d’humeur changeante. Il pique des colères, devient agressif. A d’autres moments, il se replie sur lui.
A l’école, il a des difficultés à se concentrer, s’obstine des heures sans résultats.
Il a changé de comportement : son appétit n’est plus le même, il fait pipi au lit, il a du mal à s’endormir, se réveille la nuit…
Mal au ventre, à la tête… Il a toujours quelque chose de travers. Votre médecin ne constate rien d’anormal. Avoir mal peut exprimer son anxiété.
Il a des maladies à répétition. Il vomit sans raison, a des troubles digestifs, des maux de têtes inexpliqués. Chez les plus petits (3-4 ans), vous observez des problèmes de peau. Chez les plus grands (10-12 ans), ces troubles peuvent aller jusqu’à la spasmophilie.
Il vous cache son mal-être ? Menez l'enquête
Il se peut que votre enfant n'ose pas exprimer devant vous le fait que cette situation le dérange. Il veut vous préserver.
Rencontrez la maîtresse et le personnel de l’école. Ils n’ont rien remarqué de particulier ? Demandez-leur d’observer votre enfant pendant quelque temps. Ils auront peut-être des choses à vous apprendre.
Renseignez-vous auprès de ses copains et de leurs parents. Posez-leur des questions sur le comportement de votre enfant quand vous n’êtes pas là. Tentez de savoir s’il est gai, triste, s’il se plaint, s’il s’isole ou s’il cherche sans cesse à faire son intéressant. Si votre enfant a un problème, peut-être parle-t-il de ce qu’il ressent à ses copains.
Où trouver de l'aide ?
La première chose à faire est de discuter avec son père des problèmes que vous rencontrez. Puis, ensemble, tournez-vous vers votre pédiatre ou votre généraliste, qui vous orientera peut-être vers un pédopsychiatre ou un psychologue. Ce spécialiste aidera votre enfant à exprimer ses difficultés et à faire la part des choses : ses troubles sont-ils liés à l’organisation récente ou tout simplement à la situation de séparation de façon plus générale.
Préparez la première consultation : elle a pour but d’exposer le problème et d’informer le spécialiste sur le comportement de votre enfant. Préparez les questions que vous voulez lui poser.
Assurez-vous, en abordant le sujet, qu’il n’a pas un avis préconçu sur la question. S’il est contre l’alternance, son diagnostic et son aide ne seront pas équilibrés.
Demandez-lui des conseils sur la façon dont vous devez réagir : y a-t-il des attitudes à éviter, des choses à ne pas dire ?
Préparez des réponses aux questions qu’il est susceptible de vous poser. Cette première visite, qui réu­nit l’enfant et ses parents, est une prise de contact. Pour que l’entretien soit constructif, faites votre petite en­quête. Tournez-vous vers les personnes qui connaissent votre enfant mais qui ne sont pas impliquées dans sa vie familiale.
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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #9 le: 20 avril 2009 à 13:30:16 »
  •  
Bébé est arrivé
5 règles de sécurité dans la salle de bain

 1. Assurez-lui une baignade surveillée 
Un bébé peut se noyer dans 10 cm d’eau. Il suffit que son visage soit totalement immergé. Incapable de relever la tête, il perd rapidement connaissance. Par conséquent :
Ne laissez jamais votre enfant sans surveillance dans son bain, même le temps de répondre brièvement au téléphone. Votre présence et votre vigilance sont les seules vraies mesures de sécurité.
Lavez votre bébé dans une baignoire en plastique adaptée à sa taille.
Lorsque votre enfant est capable de tenir assis et de se lever seul, vous pouvez l’installer dans votre baignoire. N’oubliez pas de disposer au fond un tapis antidérapant. Ne laissez pas le niveau de l’eau dépasser son nombril
2. Ne laissez pas traîner les produits de toilette et les objets coupants 
Les produits souvent posés sur le rebord de la baignoire contiennent des substances toxiques. Leurs parfums sucrés (abricot, fraise) attirent les gourmands. 
Disposez sels de bain, gels douche et autres shampooings en hauteur ou réunissez-les dans un bac que vous rangerez après le bain.
N’achetez pas de savonnette en forme d’aliment (fruits, bonbons) avant que votre enfant soit en âge de faire la différence avec les vrais.
N’oubliez jamais de ranger après utilisation les paires de ciseaux, les rasoirs, etc.
3. Offrez-lui une eau à température idéale
Il suffit d’une exposition de 3 secondes sous une eau à 60 °C pour provoquer une brûlure au troisième degré. Sachant qu’un jeune enfant met trois fois plus de temps qu’un adulte à retirer sa main de sous un jet d’eau bouillante… 
Faites réviser la sécurité interne de vos appareils et de votre ballon électrique d’eau.
Installez des mitigeurs thermostatiques sur vos robinets. Ils ne laissent couler l’eau qu’à la température désirée. Vous pouvez également installer des sécurités antibrûlure sur le robinet mitigeur de votre douche. L’eau s’arrête dès que la température est à 44 °C et il suffit d’ajouter de l’eau froide pour qu’elle s’écoule à nouveau.
Vérifiez la température du bain à l’aide d’un thermomètre. L’idéal, c’est 37 °C. Et comme deux précautions valent mieux qu’une, testez vous-même le degré de chaleur en trempant votre coude dans l’eau.
Apprenez à vos enfants à toujours faire couler l’eau froide en premier.
4. Eloignez les appareils électriques et les médicaments
Même avec une installation conforme, eau et électricité ne font pas bon ménage ! Quant aux médicaments, eux aussi méritent votre attention pour prévenir toute ingestion dangereuse.
Ne laissez jamais branchés le sèche-cheveux ou le rasoir électrique.
Evitez de poser au-dessus d’un point d’eau tout appareil relié au secteur (poste de radio, etc.).


Utilisez de préférence des appareils à piles ou rechargeables.
Vérifiez l’isolation du chauffage d’appoint et des interrupteurs. 
Rangez vos médicaments, sirops, comprimés, granules homéopathiques… dans une armoire à pharmacie munie d’une clé ou dans une boîte réservée à cet usage en hauteur.
Ayez le réflexe d’y ranger immédiatement tout traitement après chaque prise.
5. Attention au terrain glissant 
Les enfants adorent jouer avec l’eau et après le bain, votre salle d’eau ressemble souvent à une patinoire. Glissades et chutes sont malheureusement fréquentes. 
Installez un tapis au pied de la baignoire.
Chaussez votre enfant dès qu’il sort de l’eau. Idéales, les claquettes antidérapantes
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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #10 le: 21 avril 2009 à 12:11:29 »
  •  

Quand bébé fait des bruits bizarres la nuit
La nuit, votre tout-petit grince des dents, parle, remue et parfois tape contre les barreaux de son lit... Mais qu'est-ce qu'il trafique ? Il ne dort donc jamais ?
Il grince des dents
•   Etrange le bruit que fait votre tout-petit la nuit avec ses dents. Cela s'appelle le bruxisme. Ce grincement est inconscient et ne signifie pas que votre bébé est un anxieux.
•   Vous vous inquiétez pour ses dents ? Cela peut les user un peu, mais les dents de lait tomberont. Et la mâchoire ? Pas de panique, les médecins n'ont jamais constaté de cas de déplacement.
Il déménage !
•   Il arrive souvent que les enfants se balancent dans leur lit au moment de s'endormir ou au milieu de la nuit. Certains tapent leur tête ou leurs bras contre les barreaux du lit. Parfois, ils arrivent même à déplacer le lit dans la pièce ! Comme pour le bruxisme, il s'agit d'une rythmie d'endormissement : votre petit se berce tout seul.
•   C'est pourquoi ce phénomène concerne les enfants qui ne sucent ni pouce ni tétine. Ces balancements bruyants inquiètent souvent les parents parce qu'ils sont à tort perçus comme un symptôme de l'autisme. Rassurez-vous. Les enfants autistes se balancent autant la nuit que le jour.
Il ronfle
•   Beaucoup d'enfants ronflent la nuit, quand ils sont enrhumés ou lorsqu'ils sont installés dans de mauvaises positions. Là encore, rien de grave.
•   Si le sommeil est très haché, si son ronflement s'interrompt par des pauses de la respiration, de quelques secondes à une minute, il est recommandé de consulter. En effet, cela signifie que l'air passe mal. Très souvent la cause est simple. Cela peut venir des végétations : un tissu situé derrière les fosses nasales, qui aide à la défense contre les virus et les microbes et qui, à force d'être sollicité, peut s'épaissir et donc devenir gênant.
•   Il peut s'agir aussi des amygdales, ces deux boules dans la gorge. Trop grosses, elles gênent la respiration. Ces problèmes se résolvent très bien. Deux solutions sont possibles : soit on enlève les végétations, soit on enlève les végétations et les amygdales. Leur ablation supprime tous ces signes.
Il parle en dormant
•   Tout le monde peut parler la nuit, adultes et enfants. Cela survient tantôt en sommeil lent léger, tantôt en sommeil paradoxal, au cours d'un rêve. Ce n'est rien. C'est juste parfois agaçant. Parce qu'on a envie de savoir ce que disent les « somniloques ».




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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #11 le: 22 avril 2009 à 11:42:36 »
  •  

Maria: Mon fils de 2 ans refuse de boire son lait depuis quelques temps. Si j'insiste, il est pris de haut-le-cœur ou se plaint de maux de ventre. Je  ne sais plus quoi faire. C'était pratique, ces biberons... Que dois-je faire?

Eh oui, votre bébé grandit. Il a envie de s'aventurer dans la diversification. A vous de redoubler d'idées et de talents culinaires !
Ce qu'il faut faire. Misez sur l'alternance ! S'il lui faut trois produits laitiers par jour pour couvrir ses besoins en calcium, proposez-lui aussi du fromage blanc, des petits-suisses et surtout des yaourts. Riches en probiotiques, ces derniers renforcent l'immunité au niveau intestinal. Concoctez-lui des desserts à base de lait de croissance, voire de lait demi-écrémé. Les fromages en revanche, trop salés pour lui, sont à consommer avec modération. Préférez ceux à pâte dure - comté, gruyère, beaufort - plus riches en calcium. Retenez que pour le calcium 125 ml de lait = 1 verre de lait = 1 yaourt = 2 petits-suisses = 20 g de gruyère.
•   Ce qu'il faut lui dire. « Pour être grand comme moi, tu as besoin de calcium ! Goûte ce fromage, je l'adorais enfant... »
Bouder le lait, une façon de s'exprimer
Votre enfant n'a pas la parole, refuser la nourriture est un moyen d'exprimer une contrariété.
•   Ce qu'il faut faire. Observez votre tout-petit. Est-il en forme, joyeux par ailleurs ? Refuse-t-il seulement le lait ou a-t-il d'autres rejets alimentaires ? Est-ce que tout se passe bien avec la nounou ou à la crèche ? Si vous sentez qu'un problème s'installe, n'hésitez pas à consulter.
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Les enfants et l'argent de poche

Selon un sondage Ipsos-Sofinco, environ six parents sur dix donnent de l’argent de poche à leurs enfants. Mais c’est à partir de 10-12 ans que la demande devient de plus en plus pressante.
Pourquoi l'enfant demande de l'argent de poche ?
Votre enfant, vers 10 ans, commence à comprendre que la monnaie est un élément important d’échange entre les grandes personnes. Et il en est – presque – une.
A quel moment lui donner de l'argent de poche ?
A l’entrée au secondaire, il semble difficile de ne pas donner d’argent de poche. Avant, cela dépend beaucoup votre la culture familiale. Si pour certains parents, c’est naturel : ils ont le sentiment que l’argent responsabilise l’enfant, lui donne le sens de la valeur des choses. Pour d’autres, ça l’est moins. Une chose est sûre: à  10-12 ans, vous pouvez commencer à lui attribuer régulièrement une petite somme avec laquelle il pourra s’acheter ce qu’il souhaite. Cet argent lui permet une entrée progressive dans le monde des adultes
Quelle somme lui donner ?
Interrogez les parents de votre entourage sur le « tarif en vigueur ». Pour en revenir au  sondage Ipsos-Sofinco, l’argent de poche donné aux enfants européens s’élève en moyenne à 31 € par mois. Ce montant évolue fortement en fonction de l’âge : 15 € mensuels entre 5 et 10 ans, 27 € entre 11 et 14 ans, 47 € entre 15 et 17 ans, et 62 € entre 18 et 20 ans.
Que penser de l’argent qui récompense ?
« Quand un enfant a aidé plus que d’habitude à la maison, qu’il a eu des bonnes notes… pourquoi pas ? A condition que ce ne soit pas systématique et de ne pas lui enlever l’argent pour le punir. Attention aussi à le mettre en garde contre le racket… Il vaut mieux que l’argent reste dans sa chambre plutot qu'il emmène avec lui à l'école.
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Comment l’aider dans ses devoirs ?

Tables de multiplication, poésie, dictée…Pas toujours facile pour vous d'aider votre enfant à faire ses devoirs, surtout si vous rentrez tard.

Pour avoir le goût d’apprendre et de travailler, votre enfant a un besoin essentiel : que vous vous intéressiez de près à sa vie d’écolier. Pas seulement à ses notes mais à ce qu’il a appris, à ce qu’il a vécu avec ses copains et son enseignant. D’où l’importance de prendre du temps chaque soir pour discuter avec lui de sa journée… et indirectement de ses devoirs.
Si vous remarquez une lacune, une notion mal acquise, inutile de vouloir refaire un cours complet après sa journée de travail… et la vôtre ! Mais gardez-le dans un coin de votre tête pour y revenir plus tranquillement durant le week-end.
Faire les devoirs à plusieurs copains, pourquoi pas ?
A priori, c’est plutôt une bonne idée. Travailler en groupe est toujours stimulant car une émulation se crée. Et puis ça a l’avantage d’éviter les tête-à-tête explosifs « parent-enfant » ! Mais ne soyons pas naïfs : sans la présence d’un adulte, ces réunions entre enfants, même motivés, risquent fort de dégénérer…
Alors pourquoi ne pas opter pour l’entraide et la débrouille ? En vous mettant d’accord avec quatre ou cinq autres familles, vous pouvez instaurer un roulement. Une fois par semaine, un parent se charge de récupérer le petit groupe d’enfants et de superviser goûter et devoirs.

Un grand frère ou une grande sœur peut-il aider aux devoirs ?
Dans certaines familles, on n’a pas d’autre choix que de s’appuyer sur les aînés pour s’occuper des plus jeunes. Qu’un grand ramène un petit de l’école, pourquoi pas ? Mais qu’il soit chargé de lui faire faire ses devoirs, voilà qui est excessif.
En agissant ainsi, on installe les deux enfants dans des rôles qui ne devraient pas être les leurs. On fait peser trop de responsabilités sur les épaules du grand, qui peut se sentir dépassé. Et du côté du petit, on lui impose de se soumettre à son aîné, ce qui n’est pas très sain. A éviter donc. Mais rien n’empêche les menus services mutuels : se faire réciter une leçon ou une poésie, par exemple !
S’il fait un blocage sur ses devoirs, faut-il consulter un psy ?
•   Le refus de se mettre au travail comporte bien évidemment une dimension psychologique importante. Avoir recours à un spécialiste est donc tout à fait logique. Mais quel type de psy choisir ?
•   En optant pour le psychologue pour enfant ou le pédopsychiatre, on court le risque de sous-entendre que le souci ne vient que de l’enfant. Or on se trouve souvent face à un problème relationnel, concernant aussi les parents. Le mieux consiste donc à choisir une consultation familiale voire une consultation d’aide à la parentalité : les planning familiaux mais aussi les services de prévention en proposent. Vous obtiendrez tous les renseignements auprès de votre commune.


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Re : Santé et éducation des bébés, enfants et ados
« #14 le: Aujourd'hui à 15:26:51 »
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Tables de multiplication, poésie, dictée…Pas toujours facile pour vous d'aider votre enfant à faire ses devoirs, surtout si vous rentrez tard.

Pour avoir le goût d’apprendre et de travailler, votre enfant a un besoin essentiel : que vous vous intéressiez de près à sa vie d’écolier. Pas seulement à ses notes mais à ce qu’il a appris, à ce qu’il a vécu avec ses copains et son enseignant. D’où l’importance de prendre du temps chaque soir pour discuter avec lui de sa journée… et indirectement de ses devoirs.
Si vous remarquez une lacune, une notion mal acquise, inutile de vouloir refaire un cours complet après sa journée de travail… et la vôtre ! Mais gardez-le dans un coin de votre tête pour y revenir plus tranquillement durant le week-end.
Faire les devoirs à plusieurs copains, pourquoi pas ?
A priori, c’est plutôt une bonne idée. Travailler en groupe est toujours stimulant car une émulation se crée. Et puis ça a l’avantage d’éviter les tête-à-tête explosifs « parent-enfant » ! Mais ne soyons pas naïfs : sans la présence d’un adulte, ces réunions entre enfants, même motivés, risquent fort de dégénérer…
Alors pourquoi ne pas opter pour l’entraide et la débrouille ? En vous mettant d’accord avec quatre ou cinq autres familles, vous pouvez instaurer un roulement. Une fois par semaine, un parent se charge de récupérer le petit groupe d’enfants et de superviser goûter et devoirs.

Un grand frère ou une grande sœur peut-il aider aux devoirs ?
Dans certaines familles, on n’a pas d’autre choix que de s’appuyer sur les aînés pour s’occuper des plus jeunes. Qu’un grand ramène un petit de l’école, pourquoi pas ? Mais qu’il soit chargé de lui faire faire ses devoirs, voilà qui est excessif.
En agissant ainsi, on installe les deux enfants dans des rôles qui ne devraient pas être les leurs. On fait peser trop de responsabilités sur les épaules du grand, qui peut se sentir dépassé. Et du côté du petit, on lui impose de se soumettre à son aîné, ce qui n’est pas très sain. A éviter donc. Mais rien n’empêche les menus services mutuels : se faire réciter une leçon ou une poésie, par exemple !
S’il fait un blocage sur ses devoirs, faut-il consulter un psy ?
•   Le refus de se mettre au travail comporte bien évidemment une dimension psychologique importante. Avoir recours à un spécialiste est donc tout à fait logique. Mais quel type de psy choisir ?
•   En optant pour le psychologue pour enfant ou le pédopsychiatre, on court le risque de sous-entendre que le souci ne vient que de l’enfant. Or on se trouve souvent face à un problème relationnel, concernant aussi les parents. Le mieux consiste donc à choisir une consultation familiale voire une consultation d’aide à la parentalité : les planning familiaux mais aussi les services de prévention en proposent. Vous obtiendrez tous les renseignements auprès de votre commune.
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