Salam wa 3likoum,

Un sujet destiné à tous les poètes de Radio Al Manar.

Faites nous part de vos talents d'écriture. (En Français ou en Arabe)

 

bsmelahhhh

Pour toi ma meilleur amie
Ce poème je te le dédie
Pour que tu te souvienne
A jamais de ces mots sans peine.

Tu es celle sur qui je peux compter
Et ça je le sais
J'en suis ravie et je te le dis
Tu es et  tu sera la meilleur dans ma vie

Cette amitié
Ensemble nous l'avons créer
Pour qu'elle puisse durée une éternité
Et que jamais je ne la laisserai s'échapper

Tu as su me donner tant de bonheur
Et pour moi tu est la perssone qui fait battre mon coeur
Je ferai tout pour toi mi amor 
Car je t'aime et je t'adore maman

lah yeteweli f3omrek sans toi j'arriverais jamais 

lettre a ma fille AMIRA:

Ma fille, mon trésor le plus précieux,

Si tu savais comme tu me rends heureuse,

Chaque jour que ALLAH fait, tu combles mon existance,

Je suis une autre femmee depuis ta naissance,

Tu ne sais pas encore la force que tu détiens,

Qui me rend plus forte au quotidien,

Ma fille, je serais là pour panser tes blessures,

Pour te guider vers un avenir plus sur,

Pour te consoler, te réconforter,

Quand le chagrin fera son entrée,

Je t'aiderais à le chasser,

En te conseillant, en te faisant rigoler,

Et pour l'éternité je vivrais,

Dans le seul but de t'aimer.

lah ye7efdek o lah yerdi 3lik a benti

Amine ! 

Jolie poême.

Alors que l'air me brule la gorge, l'éclair m'atteins au coeur.
J'ail le mal de vivre et le matin m'écoeur.


Mais sinon ça va j'suis heureux...

Bonjour Karim,
je profite de ta rubrique, pour dédier quelques vers, du grand poète Mahmoud Darwich (Allah y rahmo), à Hassan, le poème est de son choix d'ailleurs! et à tous les lecteurs: le titre du poème:

             "Désormais, tu es un autre!"
....................................................................

Cagoulé et armé de bravoure, il a assassiné sa mère parce qu’elle était la bonne proie à sa portée et parce que la soldate qui l’avait arrêté avait dénudé ses seins en disant : Ta mère en a-t-elle de pareils ?

N’était-ce la honte et l’obscurité, je serais allé à Gaza, sans connaître ni le chemin vers la maison du nouvel Abu Sufiân ni le nom du nouveau prophète !

Si Mahomet n’était pas le dernier des prophètes, toute clique aurait eu son prophète et tout Compagnon aurait eu sa milice !

Juin nous a séduit lors de son quarantième anniversaire. Si nous ne trouvons pas qui nous vaincra de nouveau, nous nous vaincrons nous-même, de nos propres mains, pour ne pas oublier !

Tu fixeras longtemps mes yeux, mais tu n’y trouveras pas mon regard. Il a été dérobé par un scandale !

Mon cœur ne m’appartient pas, il n’appartient à personne. Il est indépendant de moi, mais il n’est pas devenu une pierre pour autant.

Sait-il, celui qui clame « Dieu est Grand ! » au-dessus du cadavre de sa victime/son frère, qu’il n’est qu’un mécréant ? Il voit Dieu à son image : bien moins qu’un être humain normalement constitué.

Le prisonnier qui aspire à hériter de la prison dissimule un sourire de victoire devant la caméra, mais il ne réussit pas à dompter le flux du bonheur qui s’écoule de ses yeux, car le texte hâtif est peut-être plus puissant que le comédien.

Qu’avons-nous besoin de narcisses puisque nous sommes des Palestiniens !

Et puisque nous ignorons la différence entre la mosquée et l’université, termes dérivés de la même racine linguistique, quel besoin avons-nous d’un État qui s’achemine vers le même destin que les jours ?

A la porte d’une boîte de nuit, la pancarte dit : Bienvenue aux Palestiniens qui reviennent du champ de bataille. Entrée gratuite. Notre vin ne vous soûlera pas.

Je ne peux pas défendre mon droit de travailler comme cireur de chaussures sur le trottoir, car les clients auront le droit de me prendre pour un voleur de chaussures - c’est ce qu’un professeur d’université m’a dit.

« L’étranger et moi contre mon cousin, mon cousin et moi contre mon frère, mon guide religieux et moi contre moi-même. ». Voici la leçon numéro 1 du nouvel enseignement d’instruction civique, donnée dans les caves de l’obscurité.

Qui entrera le premier au Paradis ? Celui qui a été tué par les tirs de l’ennemi ou celui qui est tombé sous les balles de son frère ?

Certains exégètes disent : Il se pourrait que ton ennemi soit engendré par ta propre mère !

Les fondamentalistes ne me gênent pas, ils sont croyants à leur manière. Ce sont leurs acolytes laïques qui me dérangent, de même que leurs acolytes athées qui ne croient qu’en une seule religion : leur image à la télévision !

Il me demande : Le vigile affamé peut-il défendre une maison dont les propriétaires sont partis passer leurs vacances sur la Riviera française ou italienne ? Je réponds : Non, il n’a pas à le faire.

Il me demande : Est-ce que moi + moi = deux ? Je réponds : Toi et toi vous faites moins qu’un être entier.

Je n’ai pas honte de mon identité, car elle est en élaboration, j’ai plutôt honte devant certains passages des Prolégomènes d’Ibn Khaldoun.

Désormais, tu es un autre."

Salut Hakima

j' :)espere que vous avez passé une bonne fete de ( El aid el kabir)entre la famille et les amies.
 Merci beaucoup, c'est la meilleur façon de rendre hommage a ce grand poete qui est MAHMOUD DERWICH.
 je voudrai bien, que mes chers lecteurs et lectrices donnent leurs avis sur ce morceau de son poeme.
 ( Il se pourrait que ton ennemi soit engendré par ta propre mere.)
 Bien a vous.

Je voulais vous faire partager ceci :

QUAND MON ÂME SE MEURT...

La vie m’a dit qu’elle m’aimait profondément
Pourtant, son baiser était aussi violent qu’un ouragan déchaîné.
Alors même qu’il s’était juré d’avoir ma peau
Le destin m’avait construit une tour d’ivoire
Où je n’avais pour seuls serviteurs que des anges dévoués.

Dans les profondeurs abyssales de mon être
Je n’ai pas su faire germer l’or qui y dormait
Attendant d’être récolté à la bonne saison.

Sur les immondices de paroles en putréfaction
Un monde pouilleux de bestioles répugnantes se réclamant de moi a élu domicile.
Leurs cris ne cessent de me hanter jour et nuit, dans une cacophonie inextricable.
Seuls des fous pourraient survivre dans ce paradis infernal
Où tous les hommes se prennent pour des illuminés.

Quand les portes de l’Enfer s’ouvriront enfin
Tous se mordront les doigts pour n’avoir désiré que le Paradis.
Si le sourire de la vie devient trop irrésistible,
C’est pour t’attirer dans la mer de larmes qui se trouve juste derrière elle.
Mais ne refuse jamais ses avances de femme impudique
Car si elle ne t’entraîne pas dans son lit de géhenne
Ton âme ne verra jamais les splendeurs du Jardin céleste
Où senteurs aromatiques et visions fleuries s’embrassent jalousement
Au cœur d’un jour qui n’a ni début ni fin...

Ceci reposait quelque part sur la toile quand je suis tombé dessus. Mes yeux ont parcourut ces vers tandis que mon esprit les imaginait. Je suis resté muet un moment, jusqu'à ce que ça passe.

Et donc voilà, vous en pensez quoi ?

Salut tout le monde,
MERCI Antar, c'est tres touchant.

Message a toutes personnes intéréssés ou concernés.
Un nouveau Diwan de poesie vient de voir le jour,""Mémoire fugitive"" traduit en trois langues ( Arabe,français et Nederlande.) c'est un profésseur,un poete et écrivain, s'appelle FOUAD SONNI vient chaque mercredi a la radio dans l'émission ""Dounia el adab".Voila je vous dédie un de ces poemes.
             Titre:  Le PASSAGER SANS NOM"

Aux bordures d'une plage impossible
Aprés,que la nuit paienne étendit ses voiles,
Et s'en alla vagissantes à travers son destin,
Aprés que les loups citadins,
Ces fameux adeptes,du sublime déclin,
s'entassèrent ivres-mort,dans leur nuit rouge.
Aprés,que l'absolue ""Sakina"
Sous l'aile éclairée des mouettes,
délaissa le ciel,à l'image de son sable douteux.

Pareille,à ces autoroutes de l'immigration,
Qui menent les regards, vers des pays intouchables,
Une étrange silhouette,passa fuguasse en rampant,
Entre le tonnerre vociférant au lointain,
Et la barque d'éclairs attelée non loin.
Ce fut, comme au travers d'un écran endeuillé,
Et passèrent par aprés,les songes d'été,
Des essaims de vagues chuchotantes,
Et des parcelles de reves miroirs.

Aux bordures d'une plage impossible,
Tandis que la mer rangeait son dortoir,
Une jalouse dame à l'age du vieux vin,
S'est assise à la fenetre bleue,
En tricotant un lugubre chant,
pour des passagers orphelins.
Elle s'est assise nonchalamment,
En fredonnant,avec des airs noirs dans la voix,
Une vieille ballade des marins d'autrefois.
Pour la saison des mers kidnappeuses,
Et pour l'étrange silhouette rampante.
                                                  Fin
Je vous souhaite une bonne lecture.
         Hassan

Fouad Sonni, un personnage agréable à écouter parler. 

Merci Antar, voila la suite

Une chanson qui passa vers le sud,
Qui passa,comme l'odeur des roses,
Comme ce défilé de miroirs et de reves,
Passa,trainant le regard sous la fenetre bleue,
Où,une vieille dame s'est assise,
Tricotant,pour la silhouette rampante dans la crainte,
Une chanson pour traverser le dernier destin.

Aux bordures d'une mer infranchissable,
Ensevelis dans la pénombre de ses mesquins plis,
Le vieux Rabah,s'est agenouillé sur sa chance,
Au-dessus,d'un immense rocher enfoncé dans le noir,
Pour arracher au turbulent vent,sa méprisable faim,
Et dans ses yeux tout,s'est endormi,
Des fées et des mages,
Des étoiles et des plages,
Et une chétive silhouette rampante au lointain.

Sur son ventre,passa le venteux sifflement,
Et une ligne de pèche,accrochée à la métaphore du sable.
Et,tout autour,tout autour,
Les fameuses boites de nuits,
Répandant,tout autour,
Comme un gigantesque incendie,
Leurs hurlements monotones.

Pendant que le vieux Rabah,
cette oubliée créature arabe,
Croyant percevoir dans la silhouette rampante,
Une fugitive histoire,nichée dans la mémoire,
Une triste histoire d'un enfant,qui depuis toujours,
Rèvait d'une barque ailée,
Et d'une tendre mère.
                            fin de la 2éme partie.
A vous mes chers lecteurs et lectrices faites partager vos sentiments parler
comme il l'a souligné mon cher ANTAR.

Salut mes chers(e) lecteurs et lectrices,
    voila un poeme de mon cher ami profésseur FOUAD SONNI
              Titre  " Le poete"
   
      Le verbe m'a fait poete,
      La poesie m'a fait douceur,
      Et la douceur fut toute divinité.

      Poete fut mon esprit,
      Et mon ame,au-dessus de toute peur
      Enfantait dans ma douleur,
      L'immaculé vers de l'univers,
 
      Femme fut la métaphore,
     Créature de songe aux souliers d'or,
     Aux reves cristallins,
     Et aux yeux miradors

    Poete fut le verbe,
    A l'image de son nom,
    L'extrémité du désert,
    Il fut mage,prophete et encens.
                  FIN
Bien a vous

Jolies métaphores, somptueux vers et bel univers... Bravo Fouad ! 

Merci ANTAR, mille fois bravo FOUAD.
tout simplement,parce que la poesie est aujourd'hui l'algebre superieure des METAPHORES.MERCI

Salut tout le monde,
ça fait un an jour pour jour,apres sa mort,et comme c'est ma tradition,je rends hommage au poete palestinien,MAHMOUD  DARWICH,consideré comme le grand maitre de la poesie arabe contemporaine.
    voila mes chers(e) lecteurs et lectrices un de ces poemes
                 
                       Pour notre patrie
     
          Pour notre patrie
          Proche de la parole divine,
          Un toit de nuages

         Pour notre patrie
         Distante des attributs du nom
         Pour notre patrie
         Petite comme un grain de sésame
         Un horizon celestee et un abime caché

         Pour notre patrie
         Pauvre comme les ailes de la grouse
         Des livres saints et une blessure a l'identité

         Pour notre patrie
         Aux collines assiegés,dichequetées
         Les embuscades du passé nouveau

         Pour notre patrie,butin de guerre
         La liberté de la mort,
         Par langueur ou consomption,
         Pierre précieuse dans la nuit sanglante
         Notre patrie resplendit au loin,au loin
         Et illumine son dehors,
         Mais nous en son sein,
         Nous étouffons encore davantage.
                                                         Fin
   
                     

Salut tout le monde,

Je n'aime pas ecrire pour ecrire
j'aime dénoncer et décrire
Exciter les gens,ne cessent de medire
Ironique,incompréhenssible,s'amusent en faisant le dur
Avec mon esprit aiguisé,aucun probleme ne me résiste
Avec facilité,je releve le défi et le contredire
Finalement,se trouvaient figer coller au mur

J'allais jusqu'au bout de mes idées
Dont je ne peux pas s'ouffrir l'echec
Vivement,je reagis sans renoncer
Pourque mes reves,ne soient pas passer au DUM,TEC,TEC

Je m'avance goute que goute
Pour atteindre reellement mon désir
Impossible pour moi de mentir
Tant,que je suis honnete
Attiré par la lumiere du phare
On écoutant,et admirant notre radio al manar

Disant je suis un véritable modele
On gardant ma liberté,et libre comme l'hirondelle

Quand meme quittant sur un symbole d'humanité
Car dans nos coeurs vibrent un profond respect     
Et une grande amitié,lié a la foi divine
Car l'islam est notre Fierté.
                                      fin fidel amateur HASSAN.

explication: DUM TEC TEC: est une expression TURC;qui veut dire:le bruit ou la mélodie de la percussion.